Il s’agit d’une intervention réalisé lors d’une journée d’hospitalisation. Le patient entre et sort de l’hôpital le jour-même.
Il s’agit d’un concept chirurgical développé depuis quelques années. Le but est de réaliser une même geste chirurgical en minimisant la taille de la cicatrice et en respectant au maximum toutes les structures anatomiques, tout en donnant le même résultat ou un résultat supérieur à une chirurgie standard. La chirurgie mini-invasive peut être percutanée ou arthroscopique
NON
C’est bien entendu un but vers lequel chaque chirurgien aspire, néanmoins ils existe des situations où la pathologie, l’anatomie et la technologie empêchent d’appliquer un concept mini-invasif.
Il s’agit d’un type d’intervention mini invasive. L’intervention est réalisé par le biais de petites incisions, qui permettent l’introduction du caméra et d’un instrument à l’intérieur de votre articulations afin de réaliser le geste chirurgicale. Actuellement de nombreuses articulations sont concernées comme l’épaule, le coude, le poignet, la hanche, le genou, la cheville et même l’articulation du gros orteil.
NON
À l’heure actuelle, il n’existe pas de chirurgie orthopédique au laser à proprement parlé.
Généralement le patient veut parler de chirurgie percutanée ou mini-invasive.
Cela dépend du type d’intervention mais aussi du côté opéré. En effet un reprise plus précoce peut s’envisager avec le coté gauche car c’est le pied de l’embrayage. D’une
manière générale il se situe en moyenne entre 4 et 6 semaines. La conduite avec un plâtre ou un appareillage médical est déconseillé, vous pourriez vous trouver dans une situation d’exclusion d’assurance si un accident survenait.
Idéalement, en arrêtant de fumer au moins 15 jours avant l’intervention et 15 jours après l’intervention. Si le sevrage n’est pas réalisable, une diminution de la consommation doit
être envisagé.
NON
La chirurgie et la médecine vise à soulager l’humain. Il existe des risques liées au traitement, mais aussi aux particularités pathologiques et anatomiques liées à chacun. Il
n’existe donc pas de petites chirurgies. Il n’existe donc pas de chirurgie sans risque. Si une intervention vous est proposée, les risques spécifiques et généraux vous seront exposée. Une décision opératoire découle de l’évaluation entre les bénéfices et les risques d’une intervention.
La douleur est souvent un signal d’alerte qui amène le patient à consulter. Dans les cas de chirurgie de l’avant pied, l’existence d’une douleur ou d’une gêne au chaussage permet généralement de retenir une indication chirurgicale. Les interventions chirurgicales de l’avant pied (Hallux Valgus, orteil en griffe, Névrome de Morton….) dans un contexte uniquement esthétique ne doivent pas être retenues.
Il s’agit d’une forme de chirurgie mini-invasive qui permet d’assurer un geste osseux en introduisant par une petite incision, un fraise motorisée. La chirurgie percutanée trouve son application dans la chirurgie de l’Hallux Valgus, des orteils en griffes, du Névrome de Morton mais aussi dans la chirurgie de la cheville et du médio pied.
La rééducation dépend du type d’intervention et de la présence ou non d’une immobilisation post opératoire. Dans la chirurgie de l’avant pied, la kinésithérapie n’est pas nécessaire en revanche il sera nécessaire que le patient fasse des gestes d’auto-rééducation qui lui auront été enseigné lors de son hospitalisation ou lors de la consultation post opératoire. Le recours à un kinésithérapeute se justifie pour la rééducation sur la cheville et l’arrière pied.
La chirurgie de l’avant pied (Hallux Valgus, orteil en griffe, Névrome de Morton…) nécessite l’utilisation d’une chaussure post-opératoire. Cette chaussure post opératoire permet de se chausser malgré une pansement post opératoire volumineux enfin suivant le type de chaussure, l’appui est partiel sur l’avant du pied. Cette appui partiel permet de protéger le montage chirurgical et de soulager les douleurs post-opératoires. La durée peut varier de quelques jours à 6 semaines.
Dans les autres cas chirurgicaux, il n’y a généralement pas de chaussures post-opératoire à envisager.
Tout cela dépend de la chirurgie dont vous avez bénéficié.
Lors d’une chirurgie de l’avant pied, l’appui est généralement autorisé immédiatement après l’intervention sous couvert d’une chaussure post-opératoire. L’usage des cannes anglaises sera nécessaire si vous bénéficiez d’une anesthésie loco-régional tant que la jambe est endormi.
Lors des chirurgies de la cheville et de l’arrière pied, l’appui est en moyenne interdit pour les six semaines suivant l’intervention. Bien entendu, cette durée dépend de votre pathologie et est établie au cas par cas.
La reprise du sport ne doit pas être trop précoce même si beaucoup de patients sont demandeurs d’une reprise précoce. La reprise doit dans tous les cas être progressive et ne
pourra être autorisée que lorsque le processus de cicatrisation et de guérison sera totalement accompli. Dans le cadre d’une chirurgie de l’avant pied, celle-ci se situe vers le 4eme mois.
Lors d’une chirurgie de la cheville ou de l’arrière pied ce délai pourra aller au delà du sixième mois selon les cas. Quelques soit la pathologies, et l’opération que vous allez subir
une reprise trop précoce du sport risque de compromettre le résultat de votre intervention, voire pire d’induire des pathologies surajoutées par l’utilisation inappropriée de vos
articulations et segment de membre opéré.
Ils sont importants. En effet, une cigarette va modifier la vascularisation au niveau de votre pied pendant plus de 17 heures. L’intoxication tabagique augmente votre risque de
troubles cicatricielles et de retard de cicatrisation. L’intoxication tabagique majore votre risque infectieux. Par ailleurs, l’intoxication tabagique retarde la consolidation
OUI
Il existe des interventions chirurgicales où le risque de mauvaise cicatrisation est de base élevée. Nous pouvons penser par exemple, au fractures du calcanéum, aux interventions sur l’arrière pied et aux tendons d’Achille. Dans certains cas, l’intoxication tabagique pourra contre indiquer votre intervention.
L’utilisation de matériel d’ostéosynthèse (broches, vis, plaques) peut s’avérer nécessaire pour votre intervention. Il se justifie par la nécessité de maintenir dans la position souhaitée deux fragments osseux devenue indépendant (fracture ou coupe osseuse). Les matériaux actuellement utilisés sont essentiellement des alliages de titanes. Ces matériaux ne présente pas de risque de rejet et son totalement bio compatible. Le matériel d’ostéosynthèse n’est donc pas forcément retiré. Dans certains, il peut y avoir une gène ressenti au contact du matériel d’ostéosynthèse, dans ces cas, l’ablation peut être envisagé une fois la consolidation acquise. L’ablation se fait généralement en chirurgie ambulatoire
Pour éliminer tout foyer infectieux afin d'éviter une contamination.
Vous devez réaliser des radiographies puis un scanner afin de réaliser une planification pré-opératoire 3D puis confectionner en 3D des guides de coupes personnalisés sur-mesure.
C'est une attelle qui permet de réaliser une cryothérapie à 0° associée à une compression dynamique permettant de diminuer la douleur et l'oedème.
Vous reprendrez rapidement le vélo avec votre kiné au bout de 6 semaines, puis :
La voie antérieure est la voie d'abord la moins invasive sans aucune section musculaire ou tendineuse, permettant ainsi d'accélérer la récupération en diminuant le risque de luxation secondaire.
RRAC = Récupération Rapide Après Chirurgie.
Initié dans les années 90 par le professeur Kehlet.
C'est un procédé clinique centré sur le patient : jeun limité ou "moderne", analgésie multimodale, limitation des drains, levée précoce, ...
permettant d'obtenir une réhabilitation rapide en diminuant les risques de complications, avec un retour précoce à domicile possible.
Durant votre hospitalisation, c’est le bulletin d’hospitalisation qui fait office d’arrêt de travail.
Votre certificat d’arrêt de travail est rédigé par votre chirurgien, le jour de votre sortie.
Vous aurez eu l’occasion de revoir l’équipe chirurgical lors de votre hospitalisation. Un rendez vous post-opératoire est nécessaire afin de contrôler votre cicatrice et de faire réaliser une radiographie de contrôle si nécessaire.
Au même endroit que la consultation pré opératoire (Clinique du Val d'Ouest - Médicentre, Entrée B, 1er étage)
ATTENTION c'est à vous de prendre le rendez-vous
Vous avez le choix de la faire réaliser :
NON
Dans le cadre de la chirurgie percutanée de l’avant pied, il s’agit d’un pansement fait au bloc selon une technique précise avec un but recherché de maintien de la correction, le pansement est donc laissé en place jusqu’à la prochaine consultation.
Lorsqu’une hospitalisation a été nécessaire, le pansement est changé avant votre sortie puis laissé en place jusqu’à la consultation de contrôle.
NON
Le pansement post opératoire n’est pas quelques choses qui s’improvise et nécessite tout le savoir-faire et l’expérience d’un professionnel
OUI
Vous devrez contacter une infirmière à domicile afin de réaliser les soins locaux.
Lors du anesthésie, il peut se produire des vomissements. Si le patient n’est pas à jeun, le contenue gastrique risque d’être inhalé. Les conséquences de cette situation sont particulièrement grave et doivent donc être évitées.
OUI
Car il existe certain cas, où une anesthésie complémentaire est nécessaire. C’est cette situation qui justifie pleinement le fait de rester à jeun.
Si votre intervention a lieu en ambulatoire, ou si vous entrez à l’hôpital le jour de votre intervention, c’est à vous de faire la préparation cutanée. Une douche antiseptique la veille et le jour de l’intervention doit être réalisée. Par ailleurs et suivant les cas, le membre doit être dépilé soit à la crème dépilatoire, soit à la tondeuse mécanique. Cf feuille de préparation cutanée
NON
Car ces procédés entraîne des micro-lésions cutanées qui peuvent être préjudiciable en terme infectieux.
NON
Vous ne serez pas en mesure de prendre votre véhicule pour la sortie d’hospitalisation. Il faut donc que vous puissiez être conduit à la clinique du Val d'Ouest. Si personne ne peut vous conduire, un bon de transport vous sera remis lors de votre sortie de l’hôpital
Au jour de rédaction de ce site, la caisse primaire d’assurance maladie autorise un transport à l’aller et pour la sortie d’une hospitalisation. Si vous en avez besoin, votre chirurgien pourra rédiger un bon de transport aller et retour lors de votre sortie d’ambulatoire.
Vous ne devrez pas oublier
Votre intervention peut être annulée, ou vous pouvez être amené à attendre le temps d’être de nouveau à jeun. Encore une fois, nous insistons sur le fait que la consommation de tabac ou de cigarette électronique vous empêche d’être à jeun pendant les 6 heures qui suivent la dernière consommation.
L’anesthésiste aura répondu à cette question lors de la consultation pré-opératoire. Il vous aura expliquer les médicaments que vous devez continuer à prendre et ceux que vous ne devez pas prendre le jour de l’intervention. Si la prise d’un médicament doit être continué le jour de votre intervention, celle-ci se fait avec une toute petite gorgée d’eau.
La durée d’hospitalisation dépend de plusieurs facteurs qui sont la douleur, la nécessité d’une surveillance hospitalière post opératoire, l’autonomie post opératoire. Actuellement, des techniques opératoires moins invasives et des protocoles d’anesthésie novateur permettent de limiter votre durée d’hospitalisation. La durée d’hospitalisation peut donc varier d’une journée (ambulatoire) à une semaine environ. Bien entendu cette durée dépend de votre intervention et est adapté au cas par cas à chaque patient.
NON
Avant de pouvoir passer au bloc, vous devrez être installé dans votre chambre et avoir retiré vos effets personnelles. La médecine et la chirurgie soignent des humains, elles dépendent donc de facteur humains, ils arrivent parfois que des événements intercurrents comme les urgences s’intercalent et retardent votre passage au bloc opératoire.
NON
Votre sortie ne pourra avoir lieu qu’après la visite de votre chirurgien. Une hospitalisation ambulatoire est une hospitalisation d’1/2 journée.
Le type d’anesthésie dépend de l’intervention que vous devez subir. Les anesthésies peuvent être :
NON
La décision de chirurgie ambulatoire est indépendante du type d’anesthésie. Une anesthésie générale ne vous empêchera pas un retour à domicile le jour même de votre
intervention. Néanmoins, comme pour toutes chirurgie ambulatoire et pour des raisons de sécurité, vous aurez besoin de ne pas être seul les 24 premières heures.
Le type d’anesthésie dépend du type d’intervention et des conclusions de la consultation pré-anesthésique. Dans les cas, où l’anesthésie loco-régionale peut engendrer un stress accrue, l’anesthésiste peut vous proposer s’il le juge nécessaire d’une sédation associé sans que cela ne soit une anesthésie générale.
OUI
L’anesthésiste, comme tout médecin, peut prescrire des examens complémentaires s’il le juge nécessaire. Si le délai d’obtention de l’examen est trop long par rapport à la date théorique de l’intervention, l’intervention est alors reporté d’un commun accord entre l’anesthésiste et votre chirurgien.
D’une manière générale 6 mois, sous réserve que votre état de santé ne ce soit pas modifié et que votre traitement médical soit le même. En pratique, si vous avez déjà été opéré dans les 6 mois précédents au sein de la Clinique du Val d'Ouest, une nouvelle consultation n’est pas forcément nécessaire. Néanmoins, le patient devra quand même contacter le secrétariat d’anesthésie pour confirmer cette situation (04 72 19 34 33).